J’ai envie de vous parler de la légèreté et en même temps de la profondeur d’Être complice(s)…
Comme il est bon de pouvoir partager, de se sentir soutenu, d’être écouté et d’écouter, d’avancer ensemble, de rire aux éclats, de pleurer aussi …
Bref de savoir que l’on est pas seule quand le besoin d’être avec l’autre se manifeste.
Mais au fait … Qui est cet « autre » ?
L’autre, ce peut être son compagnon, son enfant, son ami(e), son frère, sa mère, son grand père, son voisin, sa cousine, son père …
L’autre, ce peut être aussi son autre intèrieur, son meilleur ami(e) en quelque sorte.
Souvent, cet autre, en nous, sait mieux ce qui est bon pour nous que le nous qui veut faire en mentalisant, en controlant, en cherchant une solution, en s’agitant ! ça vous parle ??!
Pour maintenir la complicité avec cette partie là de nous même, il est primordial de se choisir en s’octroyant des temps d’écoute interne, de pause, de créativité, de ressourcement, de silence afin que l’inspiration de nos vies émerge joyeusement et que le faire ne soit plus agité sans but mais fluide, nourricier et constructeur.
Ainsi avec plus de clarté et de lâcher prise, une solution se présente, une compréhension arrive, une acceptation prend sa place …
Le corps se détend, la joie se réveille … HUM … C’est le moment de goûter et de (se) remercier.
Et puis il y a tous les autres nous … le bébé, le petit enfant, l’enfant, l’adolescent, le jeune adulte, l’adulte … Bref, tout ce qui fait que nous sommes NOUS.
Cette complicité là aussi est précieuse car elle nous RÉUNIT dans l’amour de Soi.
Ha oui !
J’oubliais l’égo, le mental qui nous rappelle souvent ce qu’il faudrait, ce qu’on devrait, ce qui ne va pas, qui porte haut nos masques, nos croyances limitantes et nos faux semblant … et bien avec lui aussi nous pouvons être complice. Il n’est autre qu’un signal d’alarme pour nous amener à orienter nos pensées, nos envies, nos projets… Il est un très bon serviteur mais un mauvais maître.
Être complice avec lui est essentiel si on ne veut pas être son esclave !
On l’appelle aussi l’ auto-saboteur … Vous voyez de quoi je parle ?!!?
Si vous l’observez vous dire quelque chose qui ne vous convient pas, osez lui proposer un autre regard de vous m’aime ! Il n’est pas si farouche quand on commence à dialoguer avec lui !
Parfois il cherche juste à nous faire réagir pour agir juste …
Je vous souhaite de belles complicités avec vous m’aime pour ouvrir la porte à de belles complicités avec les autres et le monde …
Haut les coeurs !
Yanelle